Mr Said FENNICHE mon papa

Publié le 07/03/2013 à 18:50 par 1regimenthelicoptercombat8904 Tags : éléments rouge nuit afrique
Mr Said FENNICHE mon papa

je vous presente mon papa Monsieur  Said FENNICHE née en 1908 il a servie 3 année de 1929 a 1931 au 3e RTA de larmée Francaise .Décédé le 08/08/1998

pendent la 2e guerre 39/45 il a fait compagne avec le 85e DIA dans le regiment du 11e RTA son parcours :

La 85e Division d'Infanterie d'Afrique sur l'Oise, juin 1940 10 juin 1940, un mois jour pour jour après le déclenchement de l'attaque allemande à l'ouest, la 85e Division d'Infanterie d'Afrique, se replie sur la dernière ligne de défense devant Paris. Constituée notamment du 3e Régiment de Zouaves, des 11e et 19e Régiment de Tirailleurs Algériens, la 85e Division d'Infanterie d'Afrique est une unité de réservistes, mise sur pied à Alger en août 1939. Elle comprenait à l'origine, les 3e et 9e Zouaves et le 20e Tirailleurs Tunisiens et fait mouvement en septembre 1939 vers le sud-tunisien et la ligne fortifiée de Mareth, qui protège les possessions françaises d'Afrique du Nord contre la Libye, alors colonie italienne. En avril 1940, la division réorganisée est regroupée en Algérie (Guelma, Souk-Ahras, Mondovi) puis embarquée pour Marseille du 22 mai au 3 juin pour être dirigée à partir du 5 juin sur la région de Mantes, à l'ouest de Paris (Courgens, Guerville, Soindre, Tilly, Mulcent, Armenonville, Dammartin). 85e DIA Commandant : Général Wemaëre. Chef d'état-major, Commandant Pinson. Commandant l'infanterie divisionnaire, Général Normand. Commandant l'artillerie divisionnaire, Colonel Marti. 3e Zouaves, Colonel Chartier; 19e Tirailleurs Algériens, Lieutenant-Colonel Richard; 11e Tirailleurs Algériens, Colonel Doucet. De la région de Mantes, la division est transportée sur Front de la Somme (Ligne Weygand), dans la région de Beauvais, à La Petite-Landelle, Le Vauroux, La Houssaye, Saint-Léger, Saint-Paul, Allonne, Marinsel, Pont-de-Bailleul. Elle occupe le 7 juin une position à peu près jalonnée par Auneuil, Saint-Léger-en-Braye, Rainvillers, Beaumont, Villers-sur-Thère, Grand-Bruneval, Montreuil-en-Thérain. Le 8, elle participe à la contre-attaque du 25e C.A., avec la 4e Division Cuirassée, la 241e Division Légère, au nord de Beauvais, objectifs : Saint-Omer-en-Chaussée, Blicourt et Rouge-Maison. L'opération échoue et la division se replie le lendemain sur l'Oise, de Meulan à L'Isle-Adam, secteur Ouest de la ligne Chauvineau, au centre de la ligne générale Basse Seine – position de Paris – Marne ; « Le 10 juin fut une journée d’agonie. Le gouvernement devait quitter Paris le soir. Le recul du front s’accélérait. L’Italie déclarait la guerre. Désormais, l’évidence de l’effondrement s’imposait à tous les esprits » note le général de Gaulle dans ses Mémoires de Guerre. La ligne Chauvineau, du nom de son concepteur, est une ligne de défense de 130 km de long destinée à couvrir Paris. Constituée à partir de septembre 1939, elle suit l'Oise de Conflans-Sainte-Honorine à Précy-sur-Oise, le cours de la Nonette, les lisières Nord des bois de Baron et de Betz, la Grivette et le canal de l'Ourcq jusqu'à la Ferté-sous-Jouarre. Cette position n'était pas doté d'armes spécifiques mais devait être équipée, le moment venu, avec l'armement des troupes chargées de la défense de la position. Les ouvrages furent donc étudiés en vue de recevoir la mitrailleuse Hotchkiss modèle 1914 ou le canon antichar de 25mm SA-L Hotchkiss modèle 1934. La "Ligne Chauvineau" allait connaître l'épreuve du feu notamment dans les secteurs de L'Isle-Adam et d'Ormoy-Villers ou se déroulèrent de violents combats. Le 10 juin en fin de matinée, après le passage de la division, les ponts des voies ferrées d’Epluches, de Conflans-Sainte-Honorine et de Pontoise sont détruits. A 15 heures, après la fin des mouvements des arrières gardes, les ponts d’Auvers-sur-Oise, de Pontoise, de Cergy, de Triel et de Neuville-sur-Oise sautent à leur tour. En fin de journée, le dispositif de la division est le suivant : à gauche le 11e RTA, au centre le 3e Zouaves, à droite le 19e RTA avec en soutien le 8e RTT (Tirailleurs Tunisiens) de la 84e DIA. Le 11 juin, tandis que Weygand prépare le regroupement des armées sur la ligne générale Caen – Tours – Loire moyenne – Dijon – Dôle, "pour conserver le plus grand nombre possible de grandes unités et couvrir le cœur du pays", les allemands franchissent la Basse Seine et prennent Reims. Sur la ligne Chauvineau, la 85e DIA continue à aménager ses points d’appui. Des reconnaissances ennemies sont signalées devant le 11e RTA à Gency et au Nord d’Evecquemont. La 84e DIA signale des mouvements ennemis devant les positions du 4ème RTT. Débouchant sur les lacets que forme la Seine en aval de Paris, le secteur ouest de la ligne Chauvineau que tient la 85e DIA est plus calme. Plus à l'est, les allemands tentent déjà de franchir l'Oise vers L'Isle-Adam qui reçoit des tirs d'artillerie ennemis et s'infiltrent vers Ormoy-Villers à l'est de Senlis. Le 12 juin, Weygand donne l’ordre de retraite générale. Le dispositif comprend : à gauche la Xe Armée, au centre le IIIe Groupe d’Armées (Armée de Paris et VIIème Armée), à l’Est le IVème Groupe d’Armée et le IIème Groupe dans la région fortifiée du Nord Est. Le tracé du front est approximativement la ligne Le Havre – Rouen – Gisors – Senlis – Château-Thierry – Nord d’Epernay – Vouziers – Montmédy – ligne Maginot. Sur la ligne Chauvineau, la 85ème DIA subit des tirs d’artillerie et doit faire face à des tentatives d’infiltration dans le secteurs du 11e RTA vers Boisemont. L’ennemi est également au contact sur l’Oise devant le 19e RTA. Les combats font rage toute la journée vers L'Isle-Adam et Ormoy-Villers. A la fin de cette journée, le général Weygand, après avoir déclaré Paris ville ouverte, donne l’ordre aux dernières troupes de se replier au Sud de la Seine. Le 13 juin, Paris est déclarée ville ouverte par Weygand. ORDRE I.- Paris est une ville ouverte. II.- Par suite on ne défendra ni les lignes des anciens forts ni la ceinture des anciennes fortifications ni à plus forte raison la ville elle-même. III.- Donc, aucune destruction de ponts ni mesure de défense de la ville. Les troupes combattant en retraite ou retraitant ne devront pas traverser la ville à l’intérieur des boulevards qui en marquent la ceinture. IV.- La défense assurée actuellement sur la Nonette, sera reportée si elle est rompue sur la ligne de sûreté (Ecouen, Gonesse, Aulnay-sous-Bois); puis au Sud de Paris sur la ligne indiquée par le commandant du groupe d’armées n°3 (forêt de Rambouillet, vallée de Chevreuse, Juvisy-sur-Orge) où l’armée de Paris se reliera à la VIIème armée. Signé : WEYGAND. Dans la nuit, les dernières unités se replient. La division arrive sur la ligne de l'Yvette en passant par Louveciennes, Versailles, Buc, Saint-Rémy. Les allemands entrent dans Paris le lendemain matin 14 juin 1940. Après la destruction des ponts du Pecq, les unités des 84e et 85e D.I.A. se trouvent mélangées aux réfugiés. Le 15, lorsque l'ennemi prend Rambouillet, c'est le repli sur l'Orge. Le soir, des éléments épars de la division sont à Dourdan, Les Granges-le-Roi, Blanche-Face, Saint-Chéron. Le 16, sans ravitaillement, sans liaisons, sans moyens de transport, les convois ayant été perdus, la division reporte sa ligne de retraite à Artenay, Patay, Beaugency (Loiret). Le franchissement de la Loire par les débris de la division fait constater la perte du 19e Tirailleurs, du 3e Zouaves, de la moitié du 11e Tirailleurs. Les dernières compagnies de ce dernier régiment seront enlevées au cours du repli vers Montrichard (Loir-et-Cher). Quelques détachements disparates se retrouveront, le 24 juin, sur la Dordogne.

fait prisonier le 17 Juin 1940 en captivité a Rennes au stalag 133 (230) évadé le Aout 1944 rejoint une unité AFN .

Commentaires (1)

1regimenthelicoptercombat8904 le 09/03/2013
quelle parcours ils on etait oublié tous c'est soldats qui on combatu pour la libérte .
http://1regimenthelicoptercombat8904.centerblog.net


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